La crise de la fièvre aphteuse en Grande-Bretagne a entraîné un surcoût de 8 milliards de livres sterling (12,4 milliards d'euros, 12 mds de dollars), selon un rapport d'audit du gouvernement.
Une ferme du Yorkshire, dans le nord de l'Angleterre, a été mise en quarantaine après la découverte de symptômes de fièvre aphteuse chez une vache, a annoncé le ministère de l'agriculture.
Les résultats des tests passés par cinq bovins présentant certains symptômes similaires à ceux de la fièvre aphteuse dans l'Etat du Kansas se sont révélés négatifs, a annoncé tard dans la soirée le département américain de l'Agriculture (USDA).
GeneThera, Inc. a mis au point une technique de fabrication de vaccins reposant sur l'ADN recombinant, ainsi qu'une technique de dépistage de l'encéphalopathie bovine spongiforme, de la bactérie E.coli et de la fièvre aphteuse grâce à l'analyse de produits alimentaires et sur animaux vivants.
Les résultats définitifs de prélèvements effectués sur des moutons soupçonnés d'avoir contracté la fièvre aphteuse dans le Yorkshire (nord de l'Angleterre) se sont révélés négatifs.
Des agriculteurs britanniques en appellent à la justice pour obtenir du gouvernement qu'il ouvre une enquête publique sur l'épizootie de fièvre aphteuse qui a fait son apparition il y a tout juste un an.
Les marchés aux bestiaux de Grande-Bretagne, suspendus pour cause de fièvre aphteuse, rouvriront et devront se conformer à de hautes exigences d'hygiène sous peine de fermeture.
Lourdement éprouvé par les deux plus graves crises sanitaires que l'Union européenne ait jamais connues, la maladie de la vache folle et la fièvre aphteuse, le secteur agroalimentaire britannique n'est plus viable.