Pour son premier grand discours sur l'agriculture, le Premier ministre Dominique de Villepin a rassuré les agriculteurs en annonçant une série de mesures pour faire face à l'envolée du prix du gazole et encourager la production de biocarburants.
La hausse des prix des terres agricoles s'est accélérée en 2004, sauf dans les vignobles où elle marque le pas, selon une étude du ministère de l'Agriculture.
Tracteurs, machines agricoles, engrais... L'envolée des prix du pétrole et de l'énergie inquiète les agriculteurs français qui, soucieux de préserver leurs coûts, attendent des pouvoirs publics un développement plus rapide des biocarburants.
L'IEDM met en lumière les coûts élevés que doivent supporter les consommateurs et les industries utilisatrices de lait en vertu du système de gestion de l'offre laitière actuellement en vigueur au Canada.
Les cultures de plants génétiquement modifiés ont fait un bond de 20% dans le monde l'an dernier et devraient poursuivre sur cette lancée d'ici la fin de la décennie en raison d'une diffusion croissante de cette technologie chez les agriculteurs des pays en développement.
« Nous sommes évidemment déçus de la décision de la Commission canadienne du lait (CCL) qui laissera la ferme laitière québécoise moyenne avec un manque à gagner de quelque 7 000 $ annuellement. » a déclaré le président de la Fédération des producteurs de lait du Québec, M. Marcel Groleau.
La Commission canadienne du lait (CCL) a reconnu les circonstances extraordinaires que vivent les producteurs de lait. Cette annonce d'un rajustement du prix à la production du lait allégera la crise du revenu des producteurs laitiers du pays.
Les restaurateurs qui sont tannés de servir de vache à lait devant la hausse des prix du lait ont fait une livraison spéciale aux preneurs de décision d'Ottawa : des douzaines de boites de pizzas remplis de 3 600 cartes postales de protestation.