Plusieurs organismes, dont le Réseau d’avertissement phytosanitaire (RAP), ont rapporté la présence dernièrement du ravageur dans plusieurs régions du Québec. Les cas ont été signalés à Henryville, La Présentation, Saint-Damase (Montérégie) et aussi à Saint-Bonaventure (Centre-du-Québec), particulièrement la variante de l’Ouest (jaune et noir). Les dommages sont visibles par l’apparition de plants qui ont la […] Lire la suite
Archives de l’étiquette puceron du soya
Des cas de chrysomèles des racines du maïs
La présence du ravageur a causé des dégâts importants dans certains champs
Soya : encore moins de pucerons en 2015
D'après les premiers dépistages, le puceron du soya sera encore plus discret cette année que l'an dernier.
Pucerons en faible nombre
La saison du dépistage du puceron du soya est amorcée. Pour l'instant, les populations sont faibles.
Champignons anti-pucerons
Au Québec, le puceron du soya compte parmi ses ennemis naturels des champignons entomopathogènes très efficaces. Le seront-ils autant si on applique des fongicides?
Puceron du soya : seuil d’alerte atteint
Quelques champs ont atteint 250 pucerons par plant. Au cours de la semaine prochaine, de nombreux autres champs pourraient atteindre ce seuil d'alerte.
Pucerons : calculez votre seuil d’intervention
Il est possible de calculer soi-même le seuil d'intervention contre le puceron du soya, à l'aide d'un chiffrier facile à utiliser.
BlackBerry anti-puceron
Des chercheurs de l'Ontario ont mis au point et lancé une application mobile pour aider les producteurs à décider s'ils doivent pulvériser ou non un champ de soya dans lequel des pucerons se sont installés.
Déclin des pucerons
Les experts s'attendent à ce que les populations de puceron du soya chutent de façon importante cette semaine.
Puceron du soya
Les populations de pucerons du soya demeurent largement inférieures à celles de 2009. Par contre, le seuil d'alerte pourrait être atteint cette semaine dans plusieurs régions du Québec.
Où sont les pucerons?
Les infestations de puceron du soya ont l'habitude d'être plus virulentes les années impaires. Tout indique que ce ne sera pas le cas au Québec en 2011, malgré quelques foyers d'infestation importants mais très localisés.