Les intérêts des agriculteurs français et irlandais sont dans des marchés organisés, équilibrés leur assurant un revenu à partir de leurs productions. C'est la raison pour laquelle ils s'opposent totalement aux propositions de réforme de la PAC.
Les recettes des cultures des agriculteurs canadiens ont chuté à leur plus bas niveau en dix ans au premier trimestre de 2003, deux années consécutives de sécheresse dans l'Ouest du pays ayant fait diminuer la production et baisser abruptement les stocks de céréales et d'oléagineux.
Les prix que les agriculteurs ont reçus pour leurs produits agricoles ont progressé de 1,6 % en mars comparativement à mars 2002, selon les données de l'Indice des prix des produits agricoles (IPPA).
La récolte de 2002 n'a représenté que 11 pour cent de la récolte annuelle prévue. La FAO aide les agriculteurs érythréens à retrouver leur capacité productive en leur distribuant des semences de céréales et de légumineuses pour sauver la récolte de 2003.
Les agriculteurs du Nouveau-Brunswick recevront des fonds additionnels du Compte de stabilisation du revenu net (CSRN) pour les aider à stabiliser leur revenu et à accroître la capacité d'expansion intérieure et de croissance des exportations de leur secteur.
L'American Corn Growers Foundation a fait un sondage auprès de 511 agriculteurs de maïs dans 14 états qui représente 86 % de la production américaine prévue pour 2003.
La ministre de l'Agriculture et de l'Alimentation de l'Ontario, Helen Johns, a déclaré que l'étude fédérale récente des programmes de gestion des risques de l'entreprise proposés aux termes du Cadre stratégique pour l'agriculture (CSA) ne répond pas aux besoins des agriculteurs ontariens.
Il est maintenant possible d'obtenir les données de mars sur les prix que les agriculteurs ont reçus pour les céréales, les oléagineux, les cultures spéciales, les fruits, les légumes, les bovins, les porcs, la volaille, les oeufs et les produits laitiers.
Réunis en congrès spécial à Ste-Croix-de-Lotbinière, 135 délégués de l'Union paysanne ont décidé que le moment était venu de modifier la loi qui confère un monopole syndical à l'UPA de façon à permettre à tous les agriculteurs de choisir, lors d'un scrutin triennal, l'association qu'ils veulent pour les représenter.
Une évaluation indépendante des programmes proposés de gestion des risques de l'entreprise a conclu qu'ils sont plus sensibles aux baisses de revenu, assurent une plus grande stabilité et permettent une meilleure planification à long terme que les programmes présentement offerts aux agriculteurs.