Le ministère de l’Environnement a dévoilé son bilan des ventes de pesticides au Québec pour l’année 2021. Le volume des ventes du milieu agricole correspond à la moyenne des cinq dernières années.
L’Institut national de la recherche scientifique (INRS) du Québec a fait valoir devant la CAPERN que les effets de l’atrazine étaient tellement importants, même à petites doses, que son retrait était préférable à son maintient, même si son usage est minime au Québec. Le produit qui représente 5% des ventes au Québec de pesticides est […] Lire la suite
La nouvelle réglementation de Québec oblige à revoir ses manières de faire quant à l’application des phytosanitaires. Syngenta a voulu donner un coup de pouce lors de sa jurnée Académie.
Yvan Lacroix de l’APNC croit que le milieu sera en mesure de s’adapter à la nouvelle réglementation sur les pesticides, comme il le fait depuis les dernières décennies.
La pollution de l'eau s'aggrave. Aussi, le ministre de l'Agriculture, Jean Glavany, a engagé la procédure de retrait de l'homologation de l'atrazine et d'autres herbicides dérivés de la famille des triazines.
Jean Glavany annonce qu'il a engagé le retrait de l'homologation de l'atrazine et d'autres herbicides dérivés de la famille des triazines, qui doit déboucher sur l'interdiction, en juin 2003, de ces produits polluants, notamment des eaux de surface et souterraines.
La présence de plus en plus fréquemment relevée, dans les eaux de surface et les eaux souterraines des traces d'atrazine (un herbicide essentiellement utilisé sur les cultures de maïs mais également sur les vignes) et d'autres produits de la famille des triazines se traduit par des dépassements en hausse des normes en vigueur.