Les consommateurs verront bientôt une information plus étoffée sur la valeur nutritive de la plupart des aliments préemballés, avec la publication, le 1er janvier 2003, d'un nouveau règlement sur l'étiquetage nutritionnel.
Consommateurs, distributeurs et gouvernement français ont accueilli favorablement l'accord conclu par les ministres européens de l'Agriculture fixant à 0,9% le seuil à partir duquel la présence d'OGM doit être mentionnée sur les produits.
La dernière enquête transfrontalière sur les prix révèle qu'un même panier nutritif de produits laitiers coûte aux consommateurs 21,3 % moins cher au Canada qu'aux Etats-Unis.
Le Parlement de Strasbourg a voté pour un durcissement de la réglementation sur les organismes génétiquement modifiés. Les députés veulent notamment des étiquettes, qui informent mieux les consommateurs.
Le commissaire européen à la Santé et la Protection des consommateurs, David Byrne, a estimé que la levée de l'embargo français sur les importations de boeuf britannique « pourrait prendre plus de 15 jours » et s'est dit prêt, sous certaines conditions, à accorder un délai à Paris.
La récente flambée de cas d'intoxication à la bactérie « E. coli » à travers le Québec a mis en lumière certaines carences des consommateurs québécois dans la manipulation des viandes hachées, piquées et attendries.
Première puissance commerciale au monde - devant les Etats-Unis -, l'Union est un immense marché de 300 millions de consommateurs, bientôt 500 millions, selon toute vraisemblance. Mais justement, elle aspire à devenir autre chose qu'un « marché commun ».
Le gouvernement allemand a adopté en conseil des ministres un projet de loi visant à améliorer la protection des consommateurs dans le secteur de l'alimentation, a indiqué un porte-parole du gouvernement.
Le gouvernement de l'Ontario investirait 1,68 million de dollars afin d'accroître la part de marché que détient l'industrie provinciale du porc et de mettre au point un modèle informatique qui permettra de rapprocher davantage la production de porcs et la demande des consommateurs.
Plusieurs grands groupes agroalimentaires ont été condamnés par un juge fédéral, suite à une plainte des consommateurs, à s'acquitter d'une amende de 9 millions de dollars pour avoir vendu des produits contenant des traces de maïs génétiquement modifié « Starlink », interdit dans l'alimentation humaine.