Le président et chef de la direction de BMO Groupe financier, Tony Comper, a demandé que l'on redouble d'efforts pour ouvrir la frontière américaine au boeuf canadien et que l'on mette fin à la crise de l'encéphalopathie bovine spongiforme (EBS).
La présence d'un agent infectieux présentant des similitudes avec l'agent de l'encéphalopathie spongiforme bovine (ESB) a été détectée pour la première fois dans le monde sur une chèvre.
Le programme national de surveillance de l'ESB du Canada vise les animaux les plus susceptibles d'être atteints de l'ESB, soit les bovins de 30 mois ou plus qui sont morts, mourants, malades ou moribonds, et des animaux de tout âge qui manifestent des symptômes neurologiques.
D'entrée de jeu, M. Dessureault a précisé que l'aide annoncée est insuffisante et ne comble aucunement les besoins des producteurs de bovins de boucherie et des producteurs laitiers.
Le ministre de l'Agriculture et de l'Agroalimentaire, M. Andy Mitchell, et ses homologues provinciaux et territoriaux continuent de discuter des détails entourant la gestion de la situation de l'encéphalopathie spongiforme bovine (ESB).
L'élaboration d'une solution à long terme pour remédier à la situation de l'encéphalopathie spongiforme bovine (ESB) a constitué l'un des principaux sujets de discussion de la conversation téléphonique qui a eu lieu hier entre le ministre de l'Agriculture et de l'Agroalimentaire et ses homologues provinciaux.
BMO Banque de Montréal a annoncé la prolongation de son Programme d'aide aux agriculteurs victimes de l'encéphalopathie bovine spongiforme à l'intention de ses clients qui continuent d'être frappés par la crise de l'EBS.
L'échéance du 31 juillet arrive rapidement pour les producteurs qui souhaitent présenter une demande de paiement en vertu du Programme d'aide transitoire à l'industrie (PATI), doté d'un budget de 995 millions de dollars.