Pour la première fois au Québec, la légionnaire uniponctuée cause des dommages dans des champs de canola. Cet insecte ravageur est arrivé si tôt ce printemps qu'une deuxième génération est sur le point d'éclore.
Archives de l’étiquette Quebec
La légionnaire dans le canola
Engouement pour le blé
Depuis la fin de la mise en marché collective du blé de consommation humaine, l'intérêt pour la culture du blé semble prendre de l'ampleur au Québec.
Épidémie de fonte des semis
Les champs de maïs semés à partir du 20 mai sont frappés par la fonte des semis. Resemer cette année, mieux prévenir l'an prochain.
Référendum sur le blé : 83 % NON
Le résultat du référendum sur le maintien de la mise en marché collective du blé destiné à la consommation humaine est sans équivoque : 17 % pour, 83 % contre.
Semis 2012 largement en avance
Les premières statistiques disponibles le confirment : dans la plupart des régions, les producteurs québécois ont pu semer avec une semaine ou plus d'avance.
Bonne progression des semis
Les producteurs québécois ont réussi à semer environ la moitié du maïs prévu. Si le beau temps revient la semaine prochaine, on pourrait avoir droit à un troisième et dernier sprint.
Valeur des terres : +4,3%
Au cours des six derniers mois de 2011, la valeur des terres a progressé de 4,3 % au Québec et de 6,9 % à l'échelle du Canada.
Le retour de la betterave à sucre
Sous l'impulsion de deux frères issus du milieu agricole, la betterave à sucre est sur le point d'effectuer un retour dans nos champs au Québec. On la retrouvera dans la ration des bovins et un jour peut-être, sur les tablettes d'épicerie.
Moins de rendement en 2011
La moyenne des rendements des superficies en maïs-grain au Québec en 2011 s'établit à 8,16 t/ha, en baisse de 12 % par rapport à l'an dernier. Les données de l'Institut de la statistique du Québec révèlent aussi une baisse des rendements dans le soya.
Important bond de la valeur des terres
La valeur des terres au Québec a augmenté en moyenne de 4,4 % au cours des six premiers mois de 2011. C'est une augmentation beaucoup plus accélérée qu'en 2010, mais nettement inférieure à la moyenne canadienne.