La Normandie à l’honneur au Salon de l’Agriculture

Publié: 1 mars 2003

Paris (France), 21 février 2003 – Pour son quarantième anniversaire, le Salon International de l’Agriculture consacre un espace de 3000 m2 à la Normandie: ses animaux, ses produits laitiers, ses fruits et légumes, ses douceurs, ses poissons et coquillages.

Quelques chiffres aident à comprendre son importance dans le paysage agricole français.

Les trois quarts du territoire normand (74%), soit 2,23 millions d’hectares, sont consacrés à l’agriculture (alors que la superficie agricole utilisée –SAU– ne couvre en moyenne que 54% de l’Hexagone). La Basse–Normandie est la région française dotée de la plus grande part de SAU (79%), tandis que la Haute–Normandie vient en sixième position avec 67%.

Les cultures sont réparties sur 850 000 hectares cultivés pour fournir pois, orge, colza, betterave sucrière, maïs, et surtout blé (Rouen est le premier port exportateur de blé au monde) et le lin, dont la Normandie est le premier producteur mondial.

Réputée pour ses vaches (la célèbre race normande, qui compte près de 2 millions de têtes dans le monde et aura droit à sa journée au Salon, le 28 février), sa crème, son lait (la Normandie produit un quart du lait français), son andouille et son camembert, la Haute et la Basse–Normandie recèlent bien d’autres joyaux, que ses producteurs et élus comptent bien faire connaître ou redécouvrir.

Tous les bons produits normands sont désormais désignés par un label officiel, la signature « Bienvenue en Gourmandie ».

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De gauche à droite: Nicolas Chatel-Launay, coordonnateur du projet Agrisolutions climat; Ghalia Chahine, coordonnatrice environnement à l'UPA; Jérémie Letellier de l'UPA Montérégie; Martin Caron, président général de l'UPA; Sophie Chatel, Secrétaire parlementaire du ministre de l’Agriculture et de l’Agroalimentaire du Canada, Sylvie Thériault et Jean-François Riendeau, producteurs hôtes

Le projet Agrisolutions climat prolongé jusqu’en 2028

Le projet Agrisolutions climat, qui permet aux fermes participantes de recevoir jusqu’à 100 000$ pour implanter des pratiques à la ferme visant à réduire les émissions de GES, a été reconduit.

Source : AP

Site(s) extérieur(s) cité(s) dans cet article :

SIMA de Paris
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