La sécheresse et les conditions sur le terrain continuent d’alimenter la tendance positive à Chicago, permettant au soya de repasser la barre des 10$US.
Tout le monde a dû mettre les bouchées doubles pour finir les travaux dans les temps, du Québec au Midwest américain, mais le travail en aura valu la peine.
Il se pourrait bien que les producteurs ontariens soient forcés de passer du maïs au soya dans la province voisine où plusieurs régions viennent de battre un record de pluie vieux de trente ans.
Malgré les effets positifs des engrais verts sur le sol et l’environnement, il est normal de vouloir protéger le rendement de la culture principale. Récemment, un chercheur a étudié les facteurs biotiques pouvant influencer les effets du seigle sur le rendement de maïs-grain.