Ce plan s'articule autour de trois grandes priorités, soit la compétitivité des entreprises, la commercialisation des produits marins québécois de même que la concertation des acteurs du milieu et la reconnaissance de l'excellence.
Albert De Martin, porte-parole de l'opposition officielle en matière d'agriculture, pêche et alimentation, déplore que le plan d'action du ministre soit composé d'une kyrielle d'actions et de peu de moyens financiers pour les mener à terme.
Parrainés par l'Ecole des pêches et de l'aquaculture du Cégep de la Gaspésie et des Iles, les stages rémunérés en entreprise auront pour effet d'attirer une nouvelle clientèle étudiante susceptible de constituer une relève dans le secteur des pêches et de l'outiller pour faire face aux enjeux du marché et à ses réglementations, notamment en matière d'exportation.
Le gouvernement du Canada s'acquitte de son engagement à établir une seule pêche pour la Colombie-Britannique et investira 175 millions de dollars pour appuyer des pêches commerciales du Pacifique durables sur les plans écologique et économique.
Yvon Vallières, annonce une série de mesures évaluées à plus de 8,5 millions de dollars et visant à appuyer les pêcheurs et les transformateurs de l'industrie de la pêche.
Daniel Bernard dirige la délégation du Québec aux rencontres du Conseil canadien des ministres des pêches et de l'aquaculture (CCMPA) et du Conseil des ministres des pêches et de l'aquaculture de l'Atlantique (CMPAA) qui se tiendront les 10 et 11 octobre à Yellowknife, dans les Territoires du Nord-Ouest.
Reconnaissant que la stabilité est nécessaire pour faciliter le changement, l'honorable Loyola Hearn, ministre des Pêches et des Océans, a annoncé qu'il allait maintenir les formules de partage actuelles dans la grande majorité des pêches de l'Atlantique.
Cet appui a contribué à la création ou à la consolidation de 130 emplois directs en Gaspésie en plus de générer des investissements totaux de plus de 515 000 $.
Le Québec souhaite être davantage consulté par le ministère des Pêches et des Océans du Canada avant que celui-ci ne prenne des orientations et des décisions relativement à la gestion des ressources halieutiques.