L'an dernier, la présence de toxines dans le maïs avait atteint des seuils inquiétants dans plusieurs régions du Québec et de l'Ontario. Cette année, il n’en est rien.
Dans la course aux augmentations de rendement, le relais sera bientôt transmis aux microorganismes du sol, qui viendront remettre de la vie autour des racines de nos cultures.
Le temps chaud et sec n’est pas nécessairement associé aux maladies fongiques. Mais ce sont justement ces conditions qui favorisent le développement de certains champignons.