Ce n'est pas qu'une vague impression : depuis une quinzaine d'années, il fait véritablement de plus en plus chaud. Les UTM mesurées dans toutes les régions agricoles du Québec subissent une hausse marquée.
Les stocks de maïs-grain et de soya demeurent élevés en Ontario et au Québec. À l'échelle du pays, toutefois, les stocks de céréales sont plus bas qu'il y a an.
Les perspectives du USDA pour la prochaine saison renforcent les prix des grains, qui ont subi passablement de volatilité au cours des deux dernières semaines.
Dans la plupart des cas, l'application de fongicide sur le maïs a un effet positif sur le rendement. La réponse au traitement est d’abord une question d’hybride, révèle une étude du CÉROM.
Selon une prévision du U.S. Grains Council, la Chine devra se tourner vers les États-Unis pour combler d'importants besoins en maïs. Ce n'est qu'un des éléments qui portent les analystes à croire que le prix fracassera d'ici peu la barrière des 7 $US le boisseau.